Chronique #187: The Shakespeare sisters, tome 2: À la grâce de l’automne – Carrie Elks | Hailey

❝ The Shakespeare sisters, tome 2: À la grâce de l’automne 

Carrie Elks

Date de publication: 11 avril 2019

Maison d’édition: Hugo Roman

Collection: Hugo New Romance

Genre: Comédie romantique

Nombre de pages: 357

Tome: 2/4

Prix: 17€

L’amour s’épanouit quand on s’y attend le moins…

Juliet Shakespeare en a sa claque de l’amour. Entre le développement de sa boutique de fleurs et son adorable fille qu’elle élève seule après une séparation houleuse avec son futur ex-mari, sa vie de femme est assez compliquée comme ça. 

Mais quand Ryan Sutherland, séduisant père célibataire d’un petit garçon, emménage dans la maison voisine, tout change. Malgré ses efforts pour l’ignorer, Juliet ne peut rien contre le magnétisme de son voisin, un Roméo décontracté qui suscite en elle des émotions irrépressibles. 

Ryan est photographe. Il n’est revenu dans sa ville natale du Maryland que pour quelques mois. Alors, à quoi bon tomber amoureux d’une femme qu’il devra rapidement quitter ? Mais c’est méconnaître Juliet, la mystérieuse et belle rouquine d’à côté. Et en elle, il se pourrait bien qu’il ait trouvé tout ce qu’il a jamais désiré au monde…

Pourtant assez bien noté sur les sites de livres, je n’ai malheureusement pas tellement accroché à ce second tome, moins que le premier.

Dans ce tome-ci, on va suivre Juliet, qui est une maman célibataire (d’ailleurs, j’ai énormément aimé les enfants dans ce tome, je ne lis que très rarement des romans où il y a des enfants dedans), qui est à la tête d’une petite boutique de fleurs et qui doit faire face aux problèmes qu’engendre son divorce et qui va faire la rencontre d’un nouveau voisin…

Bref, c’est le scénario type dont je savais que cela ne me plairait pas vraiment vraiment. Mais, mis à part ce tome-ci, je pensais vraiment accrocher avec le reste de la saga et bien évidemment, je me sentais prête à sortir de ma zone de confort avec ce tome-là. Mais cela n’a pas vraiment fonctionné.

Je me suis assez ennuyée tout au long du roman, j’ai trouvé les personnages trop « plats » et pas assez travaillés, comme dans le premier tome, et j’avouerais que je commence à avoir peur pour la suite de la saga. Juliet, la personnage principale, est une femme forte qui essaie d’élever sa fille au mieux qu’elle peut et de joindre les deux bouts avec la boutique. C’est un point que je trouve assez positif dans l’histoire, car cela lui donne une véritable image de battante, et représente aussi très bien les femmes célibataires dans la réalité. Même si j’aurais aimé plus m’attacher à elle, je l’ai néanmoins trouvé très touchante et très vraie dans ses sentiments envers son entourage. Pour le personnage masculin, encore une fois, nous avons affaire à un homme tendre, tout aussi mou que Sam (l’homme du premier tome), et une fois de plus, j’ai trouvé la romance trop rapide.

L’histoire est assez banale quant à elle, c’est vraiment une romance nian-nian basique. Si vous cherchez quelque chose à lire de rapide et sans prise de tête, c’est néanmoins vers quoi je vous dirigerais. J’avais deviné le scénario dès le début, et je trouve ça assez dommage. Même si l’auteure a essayé de « meubler » ça avec les dramas qu’engendre le divorce, je n’ai pas trouvé très cela réussi. Par contre, l’écriture de l’auteure est toujours aussi sympathique, sa plume est vraiment fluide et encore une fois, ce tome deux s’est lu assez rapidement.

Pour conclure, j’ai vraiment été déçue par ce tome, même si je m’y attendais. Ce roman n’était malheureusement pas fait pour moi, mais j’ai voulu essayer puisqu’en ce moment mes gouts littéraire ont tendance à changer. Alors ne vous fiez pas à mon avis si vous aimez les comédie romantiques, mais si vous n’êtes pas vraiment un(e) fan de ce genre, fuyez!

« Les notes de regret dans sa voix lui plurent énormément. Il aimait l’idée qu’elle se plaise en sa compagnie. Elle était pareille à un bourgeon qui s’ouvrait lentement, une fleur qui serait magnifique, une fois éclose. Et honnêtement, il espérait assister à son éclosion. »

*

« Chez soi, ce n’était pas une maison. Ni même un pays. Chez soi, c’était là où se trouvait sa famille, et c’était exactement là que Ryan voulait être, lui aussi. »

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hauleu

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