Chronique #24: Boys don’t cry – Malorie Blackman | Hailey

Bonjour!

Je vous retrouve pour vous chroniquer Boys don’t cry de Malorie Blackman, un livre qui m’a beaucoup plu!

Je vous laisse avec la suite et je vous souhaite une bonne lecture!

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R É S U M É

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Que feriez-vous si vous aviez 17 ans et que votre ex-copine vous amenait un bébé en vous disant qu’il est de vous et que vous devez vous débrouiller avec lui ? C’est ce que va découvrir Dante.

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M O N   A V I S

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Ce livre m’a totalement séduite.

L’histoire, légèrement cliché reste tellement mignonne. On voit l’évolution de Dante, un garçon de 17 ans qui se retrouve du jour au lendemain avec un bébé de 11 mois, ainsi que de son frère Adam un peu plus jeune que lui qui tombe amoureux d’un garçon qui refoule complètement son homosexualité.

Les points de vue sont alors alternés mais le personnage principal reste Dante. Les personnages sont attachants et ce qu’il y a de bien c’est qu’ils ne sont pas nombreux, on a vraiment le temps de les découvrir et de les apprécier.

L’ambiance était vraiment « cosy »: j’ai tellement aimé cette ambiance douce mais surtout j’ai aimé lire et ressentir l’évolution d’un foyer en décomposition. Ce livre est vraiment émouvant, j’ai ressenti tellement de joie, tellement de peine…

Par contre, le point négatif selon moi est la fin.. Une fin qui me laisse un peu en suspend et il n’y a pas de second tome, je trouve ça tellement dommage car cette histoire mérite réellement d’autres tomes, car on a envie de suivre Emma, Dante, Adam et leur papa, on a envie de savoir comment Dante va subvenir aux besoins de sa fille, comment Adam va finalement être de nouveau sur pied!

Pour le moment, ce livre est vraiment LE coup de cœur de cette année, et je ne regrette en aucun point ma lecture, une belle lecture qui m’a touché en tout point.

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I N F O R M A T I O N S

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L’auteur: Malorie Blackman     Le prix neuf: 13,90€      Le prix auquel je l’ai eu: 7€65

L’édition: Milan

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E X T R A I T S 

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« Quand j’avais acheté mon téléphone, on m’avait fournit une notice.
Quand papa avait acheté l’ordinateur familial, on lui avait fourni un mode d’emploi.
Quand Mélanie m’avait mis Emma sur les bras, je n’avais eu ni manuel, ni explication, ni mise à niveau. Rien. »

« Les garçons ne pleurent pas, mais les hommes oui. »

« Je me suis assis dans le fauteuil face à la poussette et j’ai observé le visage tout plissé du bébé. Des larmes roulaient sur ses joues. Tout en pleurant, il me regardait le regarder. Je me suis dit à cet instant que lui et moi, on ressentait peut-être exactement la même chose. Et il pleurait et pleurait et pleurait de plus en plus fort. Il avait de la chance. J’aurais vraiment voulu en faire autant. »

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